Texte piquant, jeu assuré, scénographie ingénieuse, mise en scène dynamique : tous les ingrédients d’une bonne production sont réunis dans Des femmes qui tombent…

– Céline Rochat, 24 Heures

 

Dans un élan jubilatoire, les comédiens troquent entre deux perruques improbables les roles de narrateur et de trisomique, contractant les zygomatiques d’une salle comble.

– Katia Berger, Tribune de Genève

 
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Des femmes qui tombent

2013
Grütli, Genève
Benno Besson, Yverdon
Nuithonie, Villars-sur-Glâne
Crochetan, Monthey

2014
Collège de la Salle, Avignon Off
Boulimie, Lausanne
PAM, Cossonay
Pommier, Neuchâtel

Dans le village de Cérillac, les femmes disparaissent les unes après les autres sous le regard ironique de l’auteur. Les hommes du village vont mener l’enquête…

Il était grand temps (25 ans après sa disparition) que vive sur scène l’adaptation de l’unique roman de Pierre Desproges écrit en 1985, Des femmes qui tombent. C’est ce que propose en première mondiale la Compagnie Un Air de Rien. Dans ce roman encore peu connu du public, le culot de Pierre Desproges, ses obsessions morbides, ses angles de vue déformants qui mettent en perspective la réalité parfois cynique du monde, se marient parfaitement à son imaginaire décalé et loufoque.
Avec sa poésie cruelle, Pierre Desproges nous livre ses angoisses préférées : la maladie, la mort, la bêtise et scanne de sa langue affutée une société pleine de lieux communs, d’ennui, de tendresse hasardeuse, de peurs et d’absurdité. De ce regard joyeusement désespéré, on ne peut qu’avoir envie de vivre meilleur…

 

Mise en scène

Sandra Gaudin

Jeu

Hélène Cattin
Sandra Gaudin
Céline Goormaghtigh
François Karlen
Anne-Catherine Savoy
Christian Scheidt


Scénographie Yves Christinet
Création diapo François Cesalli
Costumes Olivier Falconnier
Lumières Mathias Bovard
Coiffures Olivier Schawalder
Maquillages Sonia Geneux
Régie générale
assistanat Frédérique Jarabo
Photos Isabelle Meister


PRESSE


La Cie Un air de rien met toute son astuce à restituer la dérision, la noirceur, la passion du verbe qui tendent cette chronique provinciale… Dans un élan jubilatoire, les comédiens troquent entre deux perruques improbables les rôles de narrateur et de trisomique, contractant les zygomatiques d’une salle comble.

Tribune de Genève – Katia Berger

Sous la houlette de la comédienne et metteur en scène Sandra Gaudin, cette histoire loufoque où des femmes sont assassinées, dans un paisible village, par un extraterrestre fou de latex est divinement jubilatoire. Seul défaut de cette pièce, c’est qu’elle ne dure pas éternellement. A voir absolument!!

Edelweiss – Laurence Desbordes

Texte piquant, jeu assuré, scénographie ingénieuse, mise en scène dynamique : tous les ingrédients d’une bonne production sont réunis dans Des femmes qui tombent… Un succès romand emmené par la Cie Un air de rien…

24 Heures – Céline Rochat

 
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