“ La joie théâtrale du printemps. Un bonheur romanesque, avec coups d’épée, répliques galopantes et placard enchanté. »


– Alexandre Demidoff, Le Temps

 
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« Des idées scéniques et verbales à profusion, un tempo le plus souvent soutenu, dix comédiens disparates qui forment une bande homogène: ce travail est sans doute le plus abouti de la Cie Un air de rien. »

Michel Caspary, 24 Heures

 
 

Je vais te manger le cœur
avec mes petites dents

2005

Arsenic, Lausanne

2007

Arsenic, Lausanne
TPR, La Chaux-de-Fonds
Loup, Genève
Alambic, Martigny

C’est l’histoire d’une comédienne qui joue Juliette, vous savez la fille qui aime Roméo et que Roméo aime aussi. Un soir, la comédienne qui joue Juliette se démaquille trop longtemps, si longtemps qu’on l’oublie dans le théâtre. Et là, l’air de rien, c’est trop tard, il fait déjà noir. Il y a des fantômes à l’intérieur. Un rendez-vous imprévu avec la reine, le cocu, la putain, l’ivrogne, le nazi, la jeune première, le jeune contemporain et le tueur. Les corsages se déchirent. Les cœurs giclent. Il va y avoir du sport!


La scène est mise en scène à travers un conte fantastique et délirant. C’est un hommage au théâtre qui parle du tout petit en nous, un récit onirique dans lequel rien n’est naturel, ni normal. L’histoire du théâtre est mise en lumière, ses langages, ses rites et toutes les images mythiques qu’il a créées dans notre mémoire collective. Pour faire jungien, on dira : nous sommes dans le rêve de cette comédienne. Le théâtre, c’est elle. Les personnages qui hantent ce théâtre, c’est encore elle. Les figures des peurs qui la hantent, les costumes trop lourds pour cacher les plaies, pour se protéger des coups, les effets pour faire diversion, tout ça c’est encore elle. Mais on peut aussi entrer dans l’aventure, rester enfant, lire un conte, être effrayé par la sorcière, tuer le dragon, aimer le prince, s’endormir, et réfléchir plus tard... quand on sera grand.

 

écriture et mise en scène
Sandra Gaudin, 
Hélène Cattin

jeu

Monica Budde
Jean-Jacques Chep
Victor De Oliveira
Jean-Paul Favre
Sandra Gaudin
Vincent Ozanon
Geneviève Pasquier
Anne-Frédérique Rochat
Christian Scheidt
Pierre Spuhler
Diego Todeschini
Pascale Zambelli


scénographie Adrien Moretti
son Ben Merlin
, Guitos Fournier

lumière
 Jean-Philippe Roy
costumes
 Coralie Chauvin, 
Diane Grosset
maquillages 
Sonia Geneux

effets spéciaux
 Paul Lançon
accessoires
 Sophie Morlet

régie plateau Frédérique Jarabo

régie lumière 
David Perez
administration Emmanuelle Vouillamoz
photos Virginie Otth



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